On a vu ça hier et j'ai vraiment adoré. L'ambiance est lourde; C'est celle d'une prison pour femme où un prof de piano donne des cours à des prisonnières... C'est l'histoire de deux femmes déchirées par leur passé, leur histoire, leur drame et qui se lient d'amitié autour d'un piano. Les personnages sont complexes, profonds, l'histoire est bouleversant et la BO... Ouf ! Notamment la dernière scène, magistrale. A voir absolument.
jeudi 12 février 2009
mercredi 11 février 2009
Les Hommes sont devenus fous !
Voici un extrait d'un documentaire en cours de réalisation par Coline Serreau
Avis de fortes tempetes !
Que de tempêtes en France aujourd'hui !
- Des tempêtes climatologiques:
D'abord, le cyclone Gaël qui est passé à moins de 300 km de notre île et heureusement pas plus près... Même aussi loin, il a généré des vents violents qui ont tombé plusieurs arbres, détruit des tronçons de route et provoqué la mort de trois personnes au moins, qui ont fait preuve de beaucoup d'imprudence en traversant des radiers submergés ou en s'approchant trop près de la houle cyclonique...
Puis, par chez vous, une seconde tempête dans l'ouest de la France qui a coupé l'alimentation électrique dans des milliers de foyers, arraché quelques toitures, stoppé les avions, et fait beaucoup parler les médias..
- Mais surtout, la tempête sociale:
Vous l'entendez le vent de la discorde, le souffle du peuple mécontent: les lycéens, les chercheurs, les universitaires, les Guyanais, les Antillais, les personnels des hôpitaux, les juges et magistrats, les retraités, les salariés, les fonctionnaires, les étudiants, les féministes et les femmes en général avec la disparition programmée du planning familial, les ouvriers, les journalistes, les étudiants...
Ca gronde, ça rugit, ça frêmit... Qui est content aujourd'hui dans ce pays ? Qui a encore de l'espoir ? A part les banquiers et les constructeurs automobiles, je ne vois pas. Je n'entends que le bruit de la tempête qui approche, qui forcit..
Mais notre gouvernement continue.. Il faut réformer clâme notre nabot de président.. réformer, c'est à dire détruire tout ce qui existait, donner toujours plus aux plus riches, aux plus chanceux.. Travailler qu'il nous dit haut et fort, travailler bande de feignants, vous gagnerez plus !
Mais le vent souffle de plus en plus fort. Ils sont de plus en plus nombreux à protester, à descendre dans la rue, à refuser ce monde pourri.
- Des tempêtes climatologiques:
D'abord, le cyclone Gaël qui est passé à moins de 300 km de notre île et heureusement pas plus près... Même aussi loin, il a généré des vents violents qui ont tombé plusieurs arbres, détruit des tronçons de route et provoqué la mort de trois personnes au moins, qui ont fait preuve de beaucoup d'imprudence en traversant des radiers submergés ou en s'approchant trop près de la houle cyclonique...
Puis, par chez vous, une seconde tempête dans l'ouest de la France qui a coupé l'alimentation électrique dans des milliers de foyers, arraché quelques toitures, stoppé les avions, et fait beaucoup parler les médias..
- Mais surtout, la tempête sociale:
Vous l'entendez le vent de la discorde, le souffle du peuple mécontent: les lycéens, les chercheurs, les universitaires, les Guyanais, les Antillais, les personnels des hôpitaux, les juges et magistrats, les retraités, les salariés, les fonctionnaires, les étudiants, les féministes et les femmes en général avec la disparition programmée du planning familial, les ouvriers, les journalistes, les étudiants...
Ca gronde, ça rugit, ça frêmit... Qui est content aujourd'hui dans ce pays ? Qui a encore de l'espoir ? A part les banquiers et les constructeurs automobiles, je ne vois pas. Je n'entends que le bruit de la tempête qui approche, qui forcit..
Mais notre gouvernement continue.. Il faut réformer clâme notre nabot de président.. réformer, c'est à dire détruire tout ce qui existait, donner toujours plus aux plus riches, aux plus chanceux.. Travailler qu'il nous dit haut et fort, travailler bande de feignants, vous gagnerez plus !
Mais le vent souffle de plus en plus fort. Ils sont de plus en plus nombreux à protester, à descendre dans la rue, à refuser ce monde pourri.
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