jeudi 15 février 2007


Triste nouvelle
Chers amis, nous avons appris hier une bien triste nouvelle : Pierre François a quitté les siens mercredi soir. Peintre, illustrateur, touche-à-tout de génie et de coeur, il a été présent à nos côtés dans tous les moments importants de notre vie, réalisant notamment les faire-part de naissance de Marius et Zoé et une jolie carte postale pour accompagner la naissance de Lili. Nous avions eu la chance de croiser sa route un jour de 1997 et, depuis, nous gardions pour lui une affection particulière, rythmée par une correspondance lointaine mais qui témoignait d'une solide amitié. Notre maison est remplie de ses objets pittoresques aux couleurs chatoyantes et gaies, modestes témoignages d'un immense talent qui fit de lui un maître à penser pour de nombreuses générations d'artistes. Tous ceux qui l'ont connu ont apprécié la gentillesse, la réserve discrète et la modestie de cet homme qui aimait la vie et lui rendait hommage chaque jour dans sa maison-atelier. Si comme nous vous l'avez aimé, vous pouvez envoyer vos témoignages de soutien et de sympathie à Maryse François, son épouse, à Sète, 72 rue Jean-Vilar. Affectueusement.

Bienvenue

Salut à tous et bienvenue dans notre tout-nouveau blog.
La famille Pioch fait son entrée dans la blogosphère avec une belle quinte d'atouts... et de coeur.
Une manière comme une autre (mais tellement moderrrrrne !) de garder le lien avec nos challengers, et néanmoins compagnons de route, de métropole (les pôvres) et d'ailleurs.
Dans cette page, vous trouverez des nouvelles de notre trépidant quotidien, quelques réflexions philosophiques des lardons, des photos (bien sûr), des vidéos (si on y arrive) et quelques surprises (encore à inventer). Le tout sera actualisé aussi souvent que possible : c'est à dire à chaque fois qu'il fera trop chaud pour se baigner (hé, hé).
Bien sûr, vos contributions sont attendues avec intérêt ! Et si vous n'avez pas de carte, n'hésitez-pas à en piocher (très drôle).
En attendant de vous lire, on se quitte sur ces mots de Giscard : "Au revoir".